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[La Cadette - Photographie] Les Rencontres de la photographie de Arles 2024
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55e Rencontres internationales de la photographie
Collectif
- Actes Sud
- Arts - Photographie
- 28 Juin 2024
- 9782330193034
Catalogue des 55e Rencontres internationales de la photographie.
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Voyage vers le centre du monde
Cristina de Middel
- Textuel
- Textuel Photographie
- 3 Juillet 2024
- 9782386290114
Exposition aux Rencontres d'Arles 24
Dans cette épopée fantastique aux côtés des migrants d'Amérique centrale, Cristina De Middle choisit de renverser les stéréotypes de criminalité et d'illégalité véhiculés par les médias. Elle offre ici des images éclatantes de couleur, des mises en scène surréalistes cohabitant avec des documents glaçants. Un langage photographique aussi fascinant qu'atypique pour le premier livre en français de la présidente de Magnum. -
Femmes photographes japonaises : Des années 1950 à nos jours
Pauline Vermare
- Textuel
- Textuel Photographie
- 18 Juillet 2024
- 9782386290107
Rencontres d'Arles 2024
Ce livre-événement comble une grande lacune historiographique. Alors qu'il existe une véritable passion française pour la photographie japonaise, cet ouvrage démontre que la virtuosité des artistes femmes n'a rien à envier à celle de leurs homologues masculins. 535 images couleur et noir & blanc rythment cette somme étourdissante de 500 000 signes. -
Wagon-bar : Une petite histoire du repas férroviaire
Arthur Mettetal
- Textuel
- Textuel Photographie
- 26 Juin 2024
- 9782386290190
Rencontres d'Arles 2024
Ce réjouissant recueil d'archives photo met en scène une histoire de la restauration ferroviaire, mêlant joyeusement patrimoine et kitsch. Depuis les très chics wagon-restaurants de la fin du 19e au bar TGV au design orange des années 70 se dégage de ce corpus une tendre nostalgie. Un petit livre-objet décalé qui évoque le plaisir et l'excitation que l'on a tous ressenti à l'idée de manger à bord du train. -
Paradis naturistes
Bernard Andrieu, Amélie Lavin
- Éditions de la Martinière
- 28 Juin 2024
- 9791040119906
À partir du XVIIIe siècle, le mot « naturisme » désigne des pratiques thérapeutiques nouvelles fondées sur l'utilisation des éléments naturels (eau, soleil, mer) et sur des pharmacopées à base de plantes. Le terme est ensuite associé au tournant du XXe siècle aux mouvements utopistes de rénovation sociale en Allemagne et en Suisse, qui tentent de rompre avec l'urbanisation et l'industrialisation croissantes pour promouvoir une philosophie panthéiste de retour à la nature. En France, plusieurs lieux de pratique remarquables se constituent dès l'entre-deux-guerres (Villecresnes, Villennes-sur-Seine, Hyères, Montalivet, Cap d'Agde).
Cet ouvrage permettra de contextualiser l'apparition de ce mouvement mais aussi de montrer comment il rencontre nos questionnements actuels. Face à la diversité des corps et des milieux, les pratiquants du naturisme défendent très tôt des valeurs écologiques et égalitaires?: être ensemble implique le respect de l'intégrité corporelle de chacun et chacune, le partage d'expériences et de milieux naturels, la recherche d'une santé durable. Des valeurs qu'on retrouve aujourd'hui dans l'engouement croissant pour les médecines alternatives, pour l'alimentation bio, et le mouvement body-positive, qui lutte pour l'acceptation et l'appréciation de tous les types de corps. -
« Ville mille fois morte, mille fois revécue », ainsi que l'a décrit la poétesse libanaise Nadia Tuéni, Beyrouth a réussi à se relever après la guerre civile avant de plonger à nouveau dans la tragédie avec l'explosion de son port en 2020. Rassemblant les images réalisées par Randa Mirza depuis plus de 20 ans, Beirutopia est un essai visuel percutant sur la transformation socio-politique et urbaine de la capitale libanaise, qui apparaît comme prémonitoire de l'effondrement actuel du pays. Enrichies par les textes d'écrivains, d'essayistes, de géographe et de critique d'art, sept séries d'images, exploitant diverses techniques et formats, narrent les changements brutaux ainsi que les cycles de destruction et de reconstruction qui enlisent le Liban dans l'incertitude et la perte des utopies.
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Échos : La photographie à distance du conflit
Stephen Dock, Joan Fontcuberta
- delpire & co
- 13 Juin 2024
- 9791095821724
Les images peuvent contribuer à attiser le feu. Ces photographies de Stephen Dock appartiennent à la catégorie de celles qui permettent le temps long de la réflexion.
- Joan Fontcuberta
En 2011, Stephen Dock, jeune photographe français autodidacte, part sans commanditaire couvrir une guerre qui débute en Syrie. Il photographie les résistants, les rues dévastées, les hôpitaux saturés, les mouvements de contestation, le quotidien tragique des populations civiles. Se poursuivant en Jordanie, en Irak, au Liban, à Lesbos et jusqu'en Macédoine, son parcours retrace, au-delà de l'épicentre du conflit, la crise humanitaire et migratoire qui en découle. Plus d'une décennie plus tard, il questionne cette archive de milliers d'images. S'éloignant de tout traitement documentaire, Stephen Dock s'affirme dans un processus de réinterprétation et de réappropriation de ses photographies. Il développe de nouvelles formes, en se concentrant sur la perception. Du bruit au silence, le photographe ne se tourne plus directement vers le sujet. Il n'obéit plus à l'obsession de faire des images, mais les dissèque et opère sur la matière organique. En tentant de déconstruire un registre photographique, Stephen Dock propose une image générique de la guerre moderne. -
Depuis des siècles, les ama - pêcheuses japonaises - nourrissent l'imaginaire nippon. Communauté exclusivement féminine, les ama (qui signifie " femme de la mer " en japonais) se transmettent d'une génération à l'autre leur art et connaissance du milieu marin.
Depuis des siècles, les ama - pêcheuses japonaises - nourrissent l'imaginaire nippon. Ces plongeuses en apnée collectent ormeaux, coquillages et algues dont la venteleur assure une indépendance financière et une certaineaura. Communauté exclusivement féminine, les ama (qui signifie " femme de la mer " en japonais) se transmettentd'une génération à l'autre leur art et connaissance du milieu marin. Libres, intrépides, fortes, gaies, ces plongeuses incarnent une féminité souveraine, loin des clichés. Figures indissociables des récits des origines, elles fascinent depuis longtemps le monde des arts, notamment celui des photographes. Leur lien avec la nature, leur sensualité -elles étaient autrefois vêtues de combinaisons de cotonblanc, désormais en néoprène depuis les années 1960 - etla pratique d'une activité dangereuse ont façonné le mythe.Aux antipodes du stéréotype de la femme japonaiseeffacée, les ama affirment leur singularité : énergie, intrépidité et fierté.
Durant plus de trente ans, le photographe Kusukazu Uraguchi (1922-1988) a documenté le quotidien de certaines communautés situées dans le nord du Japon. Portraits, collectes sur le rivage, départs à bord d'embarcations chargées de paniers, récoltes sous-marine, plongeons répétés, scènes d'intimité et de repos dans l'amagoya - cabane uniquement accessible aux ama : les images d'Uraguchi parlent d'héritage culturel autant que de modernité. Son langage photographique - la force plastique de ses noirs et blancs fortement contrastés, son sensdu décadrage, les gestes saisis dans leur spontanéité - restitue la puissance et la liberté des corps. Un textede Sonia Voss dévoilera le monde mystérieux de cette communauté et un essai du critique d'art japonais Chihiro Minato inscrira l'oeuvre d'Uraguchi dans l'histoire de la photographie contemporaine. -
Répliques 11/3 : Des photographes japonais face au cataclysme
Collectif
- Xavier Barral
- Beaux Livres
- 27 Juin 2024
- 9782365114035
11 mars 2011, un tremblement de terre d'une magnitude encore jamais enregistrée dévaste la côte nord-est du Japon.
Cinquante ans plus tard, la catastrophe du 11 mars 2011va bouleverser et interroger une nouvelle génération de photographes
11 mars 2011, un tremblement de terre d'une magnitude encore jamais enregistrée dévaste la côte nord-est du Japon. Le fondde l'océan s'est fracturé sur plus de 500 km de long et 200 kmde large, déclenchant un tsunami de plus de 30 m de hautqui détruit tout sur son passage. La région du Tôhoku estravagée : plus d'infrastructures, plus de maisons, et l'explosionde la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi qui pulvérisedans l'atmosphère et la mer des rejets radioactifs. Le nombrede morts et de personnes déplacées ravivent chez les Japonaisle traumatisme de la Seconde Guerre mondiale avec, parmi ses conséquences, l'arrivée du nucléaire sur leur sol. L'après-guerrevoit se développer une conscience écologique, consécutivementà l'installation de centrales nucléaires, ainsi qu'une mobilisation politique face à la présence de bases américaines.
Cinquante ans plus tard, la catastrophe du 11 mars 2011va bouleverser et interroger une nouvelle génération de photographes : comment l'image peut-elle rendre compted'une réalité cauchemardesque ? Quel rôle le photographedoit-il tenir ? Comment montrer la menace invisible de la radioactivité ? Comment évoquer le traumatisme mais aussila résilience et la reconstruction ? En résultent des images documentaires montrant la violence des ravages, la désolation des lieux, mais aussi des gestes artistiques qui révèlent les signesde résistance. Il s'agit ici de regards de photographes dontles pratiques ont été totalement reconsidérées suite au choc.La puissance visuelle de leurs images parle de reconstructionet réinterroge le statut du médium : elles capturent l'éphémèrepour donner à voir une mémoire collective. Les treize photographes ici présentés parlent de sujets qui secouent nos sociétésmodernes : de territoire, d'écologie, de disparition, de déplacement de populations, de transformations urbaines et sociétales... -
Ouvrage publié en lien avec l'exposition de Sophie Calle lors des prochaines Rencontres d'Arles.
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Au nom du nom : Les surfaces sensibles du graffiti
Hugo Vitrani, Collectif
- delpire & co
- 20 Juin 2024
- 9791095821731
Des gravures de Pompéï à celles des touristes sur les sur les ruines antiques, les cactus, les arbres et autres surfaces anonymes, l'humanité est née tagueuse. Mais le graffiti est une énergie qui ne surgit que pour disparaitre. Que reste-t-il ? Des traces et des plaies, pour voler les mots d'Henri Michaux.
Réunissant pour la première fois une quarantaine d'artistes internationaux, historiques ou émergents, Au nom du nom. Les surfaces sensibles du graffiti déploie une photographie documentaire, d'ambiance, d'action, une archive intime, une photographie picturale mais aussi une photographie policière. De Los Angeles à Paris en passant par Londres ou Sao Paulo, le livre étire une pensée en négatif du graffiti envisagé ici comme le révélateur de ce que la vi(ll)e ne veut pas voir.
Au nom du nom n'est pas un livre de photographies de graffiti mais montre comment la scène du graffiti a été traversée par la photo. Le graffiti y est un sentiment, un affect, une attitude, un mode opératoire. Le graffiti est un rapport mental, obsessionnel et physique des marges. Le graffiti est une écriture originelle, celle des ombres de la préhistoire et de l'enfance.
Hugo Vitrani rassemble dans cet ouvrage photographies, travaux et citations de BANDO, Patrick Bona, Brassaï, Martine Barrat, Sophie Bramly, André Cadere, Miriam Cahn, Sophie Calle, Gusmano Cesaretti, Henry Chalfant, Martha Cooper, Bruce Davidson, John Divola, David Douard, Mathias Enard, ENERI, Stanislas Fuzi Baritaux, Pablo Jomaron, JR, Lisa Kahane, Tseng Kwong Chi, Mierle Laderman Ukeles, Zoe Leonard, Maï Lucas, Tala Madani, Hans Leo Maes, Silvio Magaglio, Ari Marcopoulos, MATTA, Gordon Matta-Clark, Barry McGee, MODE2, Tania Mouraud, Yoshi Omori, Jill Posener, Alexander Raczka, Jay Ramier, les Frères Ripoulin, SAEIO, Marion Scemana, Jamel Shabbaz, SKKi©, Melchior Tersen, Pablo Tomek, Toni, Monique Wittig, Fabrice Yencko et Gérard Zlotykamien. -
Alfred Latour : Un regard sur la forme
Mattieu Gafsou, Aziza Gril-Mariotte, Christian Lacroix
- Actes Sud
- Arts
- 24 Avril 2024
- 9782330189389
Regard sur la forme présente l'oeuvre et les recherches menées par Alfred Latour (membre de l'UAM - Union des Artistes Modernes) entre 1928 et 1964 dans deux des modes d'expression qu'il employa tout au long de sa carrière : la photographie et le dessin pour imprimés textiles.
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Tour à tour décrite comme artiste conceptuelle, photographe, vidéaste et même détective, Sophie Calle a développé une pratique immédiatement reconnaissable, alliant le texte à la photographie pour nourrir une narration qui lui est propre. Elle fait désormais partie des plus grandes artistes du XXIe siècle.
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Paysages usagés 2012
Bertrand Stofleth, Geoffroy Mathieu
- Building Books
- 1 Février 2024
- 9782492680182
Série photographique de 100 points de vue réalisés depuis le sentier métropolitain GR®2013, avant son ouverture au public. Ces images, qui document les paysages vu du sentier et le sentier lui-même, explorent la variété des relations entre ville et nature dans la métropole Marseille-Provence. Ces points de vue constituent l'année zéro de l'Observatoire photographique du GR®2013. Ils seront reconduits une fois par an pendant 10 ans.
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Paris jamais vu ! Les années 1920 prennent des couleurs
Sébastien De oliveira, Guillaume Evin
- Chêne
- 12 Juin 2024
- 9782812321672
Grâce aux archives du fonds Roger Viollet et au travail de coloriste de haute volée de Sébastien de Oliveira, revivez l'ébullition des Années folles et le quotidien des rues de Paris.
Une dizaine de petites gazettes apportent, à la manière de la presse quotidienne de l'époque, un éclairage sur l'intense vie nocturne, le chaos des conditions de circulation, l'omniprésence du sport pour tous, la vie dans les brasseries parisiennes...
Ces 180 colorisations agissent comme une machine à remonter le temps : épreuves des J.O. de 1924, terrasses de café bondées, déballage de marchandises aux Halles, embouteillages devant l'Opéra ou observation d'une éclipse sur les Grands Boulevards. -
Le texte passionnant de Roland Barthes sur les dimensions culturelles et symboliques de la Tour Eiffel, illustré des magnifiques photographies en noir et blanc d'André Martin.
« La Tour est présente au monde entier. D'abord, comme symbole universel de Paris, elle est partout sur la terre où Paris doit être énoncé en images ; du Middlewest à l'Australie, il n'est pas un voyage vers la France qui ne se fasse, en quelque sorte, au nom de la Tour, pas un manuel de classe, une affiche ou un film sur la France qui ne la livre comme le signe majeur d'un peuple et d'un lieu : elle appartient à la langue universelle du voyage. »
Roland Barthes
La Tour Eiffel est un livre double qui réunit le texte passionnant de Roland Barthes et les très belles photographies d'André Martin. Symbole de Paris pour le monde entier, ce monument que l'on voit de partout nous propose lui-même en retour un regard panoramique pour contempler et faire la conquête de la ville. Édifice longtemps décrié, ouvertement inutile, la Tour Eiffel est d'abord un objet d'une grande prouesse technique, un signe d'audace et de modernité, devenu au fil du temps une oeuvre artistique à la dentelle de fer, signe de légèreté et, par sa verticalité, de l'impossible tentative de l'homme d'atteindre le ciel.
Sémiologue et essayiste, Roland Barthes (1915-1980) a été directeur d'études à l'École pratique des hautes études avant d'occuper dès 1977 la chaire de sémiologie littéraire au Collège de France. Il est notamment l'auteur du Degré zéro de l'écriture (1953) et des Fragments d'un discours amoureux (1977).
Photographe ayant parcouru le monde entier, André Martin (1928-1999) est l'auteur d'une oeuvre marquée par le souci du détail et des structures visuelles audacieuses. -
Évoquant le fracas silencieux d'un monde en fragments et la poésie du désenchantement, les photographies de Stéphane Duroy (né en 1948) s'imposent au regard du spectateur, chargées du poids de l'histoire. Membre de l'agence VU' depuis 1986, régulièrement exposé et publié, Stéphane Duroy impose un regard sans concession sur son temps, préférant le mode contemplatif au document qui dénonce. Après avoir sillonné l'Europe pendant plus de quarante ans, observant les traces des tragédies qui ont façonné le XXe siècle, il incorpore désormais plusieurs médiums à sa pratique et pose un regard réflexif sur son oeuvre.
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La banlieue de Paris
Blaise Cendrars, Robert Doisneau
- Denoël
- Beaux Livres Denoel
- 18 Octobre 2023
- 9782207178737
Photographies de Robert Doisneau
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Façonné par son activisme militant et son mode de vie nomade qui la mène de son Italie natale à la Russie, le parcours incandescent de Tina Modotti (1896-1942) suscite la fascination. Essentiellement produite entre 1923 et 1930, son oeuvre frappe par son caractère fulgurant, de la photographie d'art de ses débuts à une approche plus personnelle tournée vers la dénonciation des conditions de vie des défavorisés. C'est au sein du Mexique postrévolutionnaire que se forgent tant sa conscience politique que le style particulier, à la fois sensible et critique, avec lequel elle saisit sur le vif les mouvements sociaux et les inégalités sans jamais négliger la qualité de la photographie. Ses images fortes, parfois teintées de propagande, de la précarité des travailleurs, des symboles de l'émancipation de la classe ouvrière, de la misère des zones urbaines, ainsi que des femmes et de leur rôle au sein de la communauté, en font l'instigatrice du photojournalisme dans le pays. Croisant l'analyse du travail de Tina Modotti avec les mouvements historiques qu'elle a traversés et l'étude de la diffusion de ses tirages dans les revues illustrées de l'époque, cet ouvrage entend rompre avec le récit romancé que certaines biographies ont véhiculé à son sujet pour révéler le regard précurseur dont est dotée cette citoyenne du monde engagée dans les luttes de son temps.
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Mathieu Rivrin est photographe et chasseur de tempêtes. Il voue son âme à Christine, Eleanor, Justine... ces tempêtes monstres avalant le littoral finistérien. Vivant du métier de l'image depuis plusieurs années, son style se forge d'une forte attirance pour les paysages naturels. Il aime photographier et partager ces phénomènes climatiques extrêmes de l'océan en furie depuis la mer, la terre ou le ciel. Ses photographies spectaculaires et esthétiques subliment les fureurs de l'océan.
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Flora : Les fleurs de Mapplethorpe
Mark Holborn
- Phaidon France
- Photographie
- 23 Mai 2024
- 9781838668440
La collection complète des photographies de fleurs de Robert Mapplethorpe dans une superbe nouvelle édition
Connu pour son oeuvre avant-gardiste et provocatrice, Robert Mapplethorpe (1946-1989) est l'un des artistes les plus importants du xxe siècle. Il a étudié la peinture, le dessin et la sculpture à Brooklyn dans les années 1960, avant d'acquérir un Polaroid en 1970 et de se lancer dans la photographie. À partir de 1973 et jusqu'à sa mort, en 1989, il a exploré le monde des fleurs selon divers procédés, dont le Polaroid et le tirage Dye-transfert. Ses compositions de roses, d'orchidées, de marguerites, de tulipes et de nombreuses espèces communes ou rares, soigneusement élaborées, ont bouleversé la façon dont nous percevons habituellement le thème, classique et familier, des fleurs dans l'art. Cette oeuvre magnifique et surprenante est rassemblée dans cet élégant ouvrage, avec un avant-propos de Dimitri Levas, ami proche de Mapplethorpe, et une introduction d'Herbert Muschamp. -
La France sous leurs yeux : 200 regards de photographes sur les années 2020
Collectif
- BNF Éditions
- Beaux Livres Bnf
- 14 Mars 2024
- 9782717729603
Catalogue de l'exposition événement présentant les 200 lauréats de la grande commande de photojournalisme lancée par l'État en 2020. 500 photographies couvrant la France métropolitaine et ultramarine et traitant de tous les aspects de la société en cette période post-Covid. Travail, pauvreté, jeunesse, vieillesse, environnement, ruralité, santé...
Catalogue de l'exposition événement présentant les 200 lauréats de la grande commande de photojournalisme lancée par l'État en 2020 pour soutenir la profession de photoreporter. Parmi les expositions dévolues à la France photographiée, depuis La France de Raymond Depardon en 2010 jusqu'à Paysages français, une aventure photographique (1984-2017) en 2017, celle-ci a pour ambition d'être un jalon.
On trouvera dans le catalogue 500 photographies représentant la France métropolitaine et ultramarine et traitant de tous les aspects de la société en cette période post-Covid : travail, pauvreté, jeunesse, vieillesse, environnement, ruralité, santé...
L'ensemble est organisé en quatre parties introduites par le texte d'un auteur invité : Libertés (Pierre Haski), Égalités (Judith Rainhorn), Fraternités (Cynthia Fleury), Potentialités (Pierre Charbonnier).
Outre ce portrait du pays et de ses habitants, cet ensemble exceptionnel de photographies illustre la vitalité de la création contemporaine dans le champ de la photographie de presse ainsi que la variété des écritures photo-journalistiques. Si certains lauréats ont fait le choix de la captation de l'instant, voire de l'événement, d'autres ont opté pour une temporalité moins marquée, revendiquant en ce sens un registre plus métaphorique.
Une plongée dans la France des années 2020 qui intéressera non seulement les visiteurs de l'exposition mais également tous ceux que la photographie passionne et qui trouveront dans cet ouvrage des figures reconnues du photojournalisme comme de jeunes talents plus que prometteurs.