Vous avez fait le tour de l'humour absurde ? Que nenni. Découvrez en la quintessence. Après le succès de Faut pas prendre les cons pour des gens, nous vous proposons aujourd'hui de remonter dans le temps et de découvrir les histoires d'Emmanuel Reuzé avant les Cons ! Des univers complètement barrés, des jeux olympiques du crime, une passion fiévreuse entre experts comptables ou encore les aventures de l'homme mal cadré... Reuzé parvient à repousser les frontières d'un humour complètement décalé encore plus loin.
Avant le succès de Faut pas prendre les cons pour des gens, Emmanuel Reuzé avait déjà sévi chez Fluide Glacial avec l'album L'art du 9e art. Faussaire de génie, il revisite ici la BD sous tous ses aspects et nous apprend tout ce qu'il faut savoir sur le 9e art: dessiner avec un Boeing, réaliser une BD en apnée comme Joann Sfar, étudier l'anatomie de Gros Dégueulasse de Reiser ou réussir une BD autobiographique de fille. La BD est évoquée depuis ses origines et répertoriée par professions et par styles. Le mauvais esprit de Reuzé n'épargne rien ni personne, à commencer par les théoriciens du 9e art qu'il convoque pour mieux les pasticher. La bible des lecteurs et des auteurs de BD existe enfin. Grandiose, exhaustive et surtout définitive !
Un recueil des pages parues (pour la plupart) dans Psykopat : aventures africaines saugrenues, western déjantés, histoire de pirates à l'eau de rose, Emmanuel Reuzé nous offre des histoires dans le pur style roman de gare, vitriolé par un humour absurde et trashouille.
Ce livre est la biographie fictionnelle de l'architecte Jean-François-Thérèse Prieur.
L'ouvrage comprend un texte nous racontant la vie de Jean-François-Thérèse Prieur, né en 1778, et de nombreuses illustrations : dessins d'architecte, esquisses, photographies d'époque...
Il imagine des bâtiments qui n'ont aucune fonction sociale ni utilitaire et ne construit aucun de ses projets. Pour lui, le dessin est une fin en soi.
L'inutile, l'absurde et le non-constructible sont les principaux caractères des architectures inventées par Jean-François-Thérèse Prieur.
Sa mégalomanie le pousse à colorer entièrement la muraille de Chine ou les pyramides d'Egypte.
L'art de faire bouillir la débilité ambiante dans ses contradictions. Peut-on remplacer les enseignants par des distributeurs de diplômes ?
Faut-il expulser du territoire son bébé ne parlant pas français quand on est patriote et républicain ?
Doit-on incarcérer de futurs criminels pour éviter qu'ils ne commettent de futurs crimes sur de futures victimes ?
Retrouvez toutes les réponses à ces questions dans Faut pas prendre les cons pour des gens, un album d'humour absurde sur la bêtise ordinaire.
Dans ce livre, Reuzé et son fidèle compagnon Rouhaud, n'épargnent rien ni personne pour notre plus grand plaisir.
Le dessin de Reuzé singe la BD contemporaine qui n'hésite pas à reprendre le même dessin sur plusieurs cases.
Comme vous l'aurez compris, ce bougre ne prend vraiment rien au sérieux, pas même son éditeur !
EMMANUEL REUZÉ TORD ET MALTRAITE LES CLICHÉS DE LA SOCIÉTÉ ET LIVRE UNE BD HILARANTE ET GRINÇANTE À SOUHAIT.
Après les succès des deux premiers tomes, Faut pas prendre les cons pour des gens revient en novembre pour un tome 03 toujours aussi hilarant et terriblement efficace. Un petit bijou d'humour noir et absurde sur la bêtise ordinaire. Après deux années de travail à manipuler la mécanique de l'absurde pour mieux tordre les clichés de notre société, Emmanuel Reuzé approfondit son analyse de la bêtise humaine et publie un troisième opus toujours aussi drôle et grinçant.
Dans ce nouvel album, il aborde par l'absurde des grands sujets de société tels que l'enseignement, la pauvreté, le racisme ordinaire, l'intelligence artificielle, la radicalisation, le dopage, l'eugénisme, le harcèlement publicitaire, la corrida, les services après vente, les déserts médicaux...
Chaque gag est construit avec intelligence, dans un style réaliste dont la répétition de cases creuse le décalage comique entre dialogues et situations. Mais s'il a bien conservé son style réaliste, Reuzé a continué à développer son dessin sur ce troisième tome pour nous offrir de superbes pages qui fourmillent de détails. Avec un humour absurde et féroce, Emmanuel Reuzé, Nicolas Rouhaud, Jorge Bernstein et Vincent Haudiquet font une fois de plus la démonstration de la bêtise du réel, et dénoncent sa violence.
UNE BD HILARANTE ET GRINÇANTE QUI TORD ET MALTRAITE LES CLICHÉS DE NOTRE SOCIÉTÉ. Faut-il une dérogation pour insulter un patron raciste ?
Peut-on passer des vacances sur le continent de plastique ?
Peut-on se faire rembourser un enfant défectueux ?
Retrouvez toutes les réponses à ces questions dans Faut pas prendre les cons pour des gens, un album d'humour absurde sur la bêtise ordinaire.
A. La Face cachée de la BD qui contiendra Les métiers secrets de la BD et B. La Face apparente de la BD qui contiendra Les métiers apparents de la BD (ceux que tout le monde croît connaître) et Les héros apparents de la BD (pareil) et, enfin, C. Le caché de l'apparent et l'apparence du caché qui contiendra :
Une réflexion générale sur la bd par Coudray illustrée de photos anciennes légendées et détournées par Reuzé la rencontre et la collaboration de Coudray et Reuzé racontée par Coudray des bios succinctes et illustrées des deux (Reuzé par lui-même et Coudray de même)
L'art de faire bouillir la débilité ambiante dans ses contradictions. En ces temps où tout le monde se demande si l'on peut encore rire de tout, Reuzé et Rouhaud font fi de ces questions et nous offrent un bijou d'humour noir et absurde que n'aurait pas renié Desproges. Chaînon manquant entre l'implacable lucidité des Idées noires et l'absurdité de Fabcaro, cette série fera date dans l'histoire de la BD.
Les gens ont enfin le recueil musical qu'ils méritent ! Avec la disCONgraphie de Reuzé et Bernstein, découvrez le meilleur de la musique du XXIe siècle. Les auteurs ont réalisé ici un énorme travail d'historiens du 4e art et mettent en lumière des albums telles que le "Best Oeuf" de New Hors-D'Oeuvre, le grand classique de la chanson française "Je roulais, je roule, je rouleboulerai" de Francis Cabriole ou encore le très politique "Break First in America" de Super Trump.
Ce dernier distille dans cet album des morceaux très courts de moins de 140 caractères, dans lesquels il fustige la world music et les mariachis. Hurlant comme un canard, son chanteur nous pond un album déplorable, qui offre une triste image du rock amérouquin.
Gocéné n'a qu'un but : retrouver la tête d'Ataï pour la ramener parmi les siens ! Ataï... Ce chef kanak, symbole de la résistance à la France, décapité par l'armée, et dont la tête a été perdue depuis plus d'un siècle. L'enquête de Gocéné le plonge dans les méandres de l'administration culturelle et dans l'univers des salles des ventes parisiennes. Soudain, Gocéné devient l'homme à abattre. Car si sa cause est juste, sa vie est en danger ! Ce récit policier de l'écrivain Didier Daeninckx a pour cadre historique les exactions de la politique colonialiste ; il y révèle les imbrications entre le passé et le présent de la lutte pour l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie. Suite à cette histoire, la réalité a rejoint la fiction : la tête d'Ataï a réellement été retrouvée dans les réserves du Musée de l'Homme durant l'été 2011.
Nouveau livre de la collection Point Métal, Le Major et les Extraterrestres est une bande dessinée en photomontage réalisée par Emmanuel Reuzé et Jean-Luc Coudray. C'est la guerre, les extraterrestres se battent et les forces armées terriennes sont prêtes à attaquer... A l'affût de chaque invasion possible, Le major se soucie de la sécurité de notre planète. Afin de ne pas être envahi par les humanoïdes, nos héros doivent se ranger aux côtés du camp adverse, qui malheureusement est en train de perdre...
Voyage dans le monde de la science fiction, c'est au moyen d'un roman-photo, à l'aide d'objets réels, outils de la vie courante, tels que, matériel de bureau ou ustensiles de cuisine, que les auteurs nous content l'histoire du major et de son équipe. Une parodie d'aventure dans le domaine fantastique de l'espace.
Visuellement étonnant, l'esthétique du Major et les Extraterrestres navigue quelque part entre de vieux jeux vidéo à la Space Invader, et les films de Jan Svankmajer, mise en scène qui convient parfaitement à l'humour surréaliste de ce recueil.
Et si le meilleur moyen de parler de la BD, c'était de passer par le détour de métiers imaginaires ?
De "placeur de bulles " à "peintre en marge" en passant par le " testeur de gag " ou le " fabricant de monstres ", ce sont 28 métiers inventés, humoristiques, avec lesquels Jean-Luc Coudray traite la BD par des entrées jamais encore explorées.
Les illustrations d'Emmanuel Reuzé ajoutent une autorité institutionnelle et une froideur administrative qui ancrent l'humour du livre dans une réalité palpable. L'humour des textes et des dessins se cautionne d'un sérieux poussé jusqu'à l'absurde.
Deux métiers réels, sans doute parce que trop oubliés, se glissent dans cette zoologie de fonctions impossibles : scénariste et coloriste.
Exposition coloniale de 1931, à Paris...
Des dizaines de Kanak, présentés comme des " Anthropophages ", sont la principale attraction du pavillon de la Nouvelle-Calédonie. Soudain, le directeur de l'exposition décide de les échanger contre des crocodiles allemands... Écrit pour le 150e anniversaire de l'abolition de l'esclavage, et maintenant adapté en bande dessinée, ce récit, inspiré d'une histoire vraie, montre les dérives d'un système colonial à son apogée.
A l'heure où les maîtres du monde s'alpaguent sur tweeter, qu'une épouse de président se fait financer un site indigent à coups de millions du contribuable, où l'on reproche à Hillary Clinton de s'emmêler les pinceaux entre ses boîtes mails persos ou professionnelles, on n'ose imaginer nos grandes figures des livres d'histoires, nos grands hommes, rompus à l'immédiateté, la précipitation, la concision exubérante cosubstantiel à internet.
Pire, à croiser le fer avec des Julian Assange. La classe surannée d'un De Gaulle, la verve enflammée d'un Mussolini mégalo ou les poses christiques d'un Che Guévara sont réduits à 140 caractères espaces compris, un thumbnail à 72 dpi, un like ou encore un post bourré de fautes rédigé par un assistant illettré. C'est l'exercice auquel s'est livré Reuzé... Et ça vaut le détour(nement).
Rien n'échappe à la sagacité et à la causticité des auteurs de la collection Humour de rire. Qu'il soit bon mot, satire ou parodie, l'art du rire est un cocktail détonant qui se déguste sans sagesse, ni modération. Alors, prenez garde à la chute!
En République de " Truanderie ", les criminels sont rois. Mais le père Ubu, encore plus avide, encore plus glouton, encore plus mégalomane que les autres voleurs, dépasse vite le quota de crimes autorisés ! Pour échapper au tribunal des truands, il se présente aux présidentielles où tous les coups sont permis. Votez Ubu. Le dessinateur Emmanuel Reuzé invente une aventure inédite au personnage emblématique d'Alfred Jarry, créateur de la pièce de référence Ubu Roi.
Attention à la machine à décerveler...
Revoilà le père Ubu ! L'ascension grotesque et hilarante d'un tyran d'opérette qui sème le chaos sur son passage. Soit une vision iconoclaste de la pièce d'Alfred Jarry qui, en 1896, a révolutionné le théâtre mondial. Emmanuel Reuzé, jeune dessinateur de Rennes, signe l'adaptation, les dessins et les couleurs de cette aventure pataphysique. Une révélation.
Revoilà le père ubu ! après sa conquête ratée en pologne, ubu décide de coloniser le nouveau monde.
Sur son chemin se dresse la secte du radis noir. emmanuel reuzé offre un rôle inédit au personnage de théâtre inventé par alfred jarry et signe une hilarante aventure pataphysique.