* * * Shortlisted for the Man Booker Prize * * * New York Times Bestseller, Los Angeles Times Bestseller, Boston Globe Bestseller, National Indiebound Bestseller The Millions 's 'Most Anticipated'; Vulture 's 'Most Exciting Book Releases for 2017'; The Washington Post 's Books to Read in 2017; Chicago Tribune 's 'Books We're Excited About in 2017'; Town & Country 's "5 Books to Start Off 2017 the Right Way"; Read it Forward, Favorite Reads of January 2017 'An epic bildungsroman . . . . Original and complex . . . . A monumental assemblage of competing and complementary fictions, a novel that contains multitudes .'- Tom Perrotta , The New York Times Book Review 'A stunningly ambitious novel, and a pleasure to read . . . . An incredibly moving , true journey.' -NPR Paul Auster's greatest, most heartbreaking and satisfying novel-a sweeping and surprising story of birthright and possibility, of love and of life itself. Nearly two weeks early, on March 3, 1947, in the maternity ward of Beth Israel Hospital in Newark, New Jersey, Archibald Isaac Ferguson, the one and only child of Rose and Stanley Ferguson, is born. From that single beginning, Ferguson's life will take four simultaneous and independent fictional paths. Four identical Fergusons made of the same DNA, four boys who are the same boy, go on to lead four parallel and entirely different lives. Family fortunes diverge. Athletic skills and sex lives and friendships and intellectual passions contrast. Each Ferguson falls under the spell of the magnificent Amy Schneiderman, yet each Amy and each Ferguson have a relationship like no other. Meanwhile, readers will take in each Ferguson's pleasures and ache from each Ferguson's pains, as the mortal plot of each Ferguson's life rushes on. As inventive and dexterously constructed as anything Paul Auster has ever written, yet with a passion for realism and a great tenderness and fierce attachment to history and to life itself that readers have never seen from Auster before. 4 3 2 1 is a marvelous and unforgettably affecting tour de force.
A contemporary novel which tells the story of Marco Stanley Fogg - orphan, child of the 1960s - spanning three generations. The narrative moves from the early years of this century to the first lunar landings, from Manhattan to the landscape of the American West.
' Six days ago, a man blew himself up by the side of a road in northern Wisconsin . . . ' The explosion that detonates the narrative of Paul Auster's remarkable novel also ends the life of its hero, Benjamin Sachs, and brings two FBI agents to the home of one of Sachs's oldest friends, the writer Peter Aaron. What follows is Aaron's story, an intricate, subtle and gripping investigation of another man's life in all its richness and complexity. Combining an investigation of freedom and terrorism with all the tension, mystery and allusive richness familiar from Auster's The New York Trilogy or Sunset Park , Leviathan is an unmissable addition to the canon of 'one of America's most spectacularly inventive writers.' ( Times Literary Supplement ) '[A] Brownian motion experiment of a plot - chock-a-block with identity-swaps, sideways sweeps and lateral leaps.' Observer
Paul Auster Mr. Vertigo «Tu ne vaux pas mieux qu'un animal. Si tu restes où tu es, tu seras mort avant la fin de l'hiver. Si tu viens avec moi, je t'apprendrai à voler.» Ainsi le vieux Yehudi s'adresse-t-il à Walt, neuf ans, un gamin misérable des rues de Saint Louis. Il tiendra sa promesse. à l'issue d'un apprentissage impitoyablement cruel, Walt deviendra un phénomène célèbre dans toute l'Amérique.
Et c'est elle - cette Amérique violente et misérable, sauvage et naïve des années vingt et trente - que le romancier de Léviathan nous convie à découvrir sur les traces de ses étranges héros. L'Amérique du Ku Klux Klan et du jazz, des gangsters et du cinéma. Revisitée par un écrivain qui, sans cesser d'être lui-même, reprend ici la tradition de Mark Twain et de Steinbeck pour nous raconter une histoire captivante - juste assez étrange pour que nous ne puissions l'oublier...
Paul Auster L'Invention de la solitude « Avant même d'avoir préparé nos bagages et entrepris les trois heures de route vers le New Jersey, je savais qu'il me faudrait écrire à propos de mon père. » Pour l'auteur-narrateur, cette mort imprévue et brutale sonne l'heure d'une confrontation fondamentale : celle qui mettra aux prises l'écriture et la mémoire, l'écriture et la vie.
Récit et roman, quête promise à l'échec d'un « homme invisible » éloigné par la mort, et aussi d'une blessure intime, voici une oeuvre exigeante et forte, texte-source d'un écrivain reconnu comme un des talents les plus marquants de la jeune génération américaine.
Quoi que l'on fasse ou dise, Paul Auster reste inclassable car il est ailleurs.
Laurent Lemire, La Croix / L'Evénement.
Au fil de ces poèmes composés dans les années 1970, on retrouve les thèmes de prédilection d'un jeune Paul Auster qui n'était pas encore romancier. Grâce à la traduction limpide de Danièle Robert, poète elle-même, lire ces vers revient à découvrir les bourgeons qui ont fleuri ensuite dans l'oeuvre que l'on connaît.
>Paul Auster Le Livre des illusions Après la mort de sa femme et de ses enfants, David Zimmer était anéanti. Il échappe au désespoir en s'attelant à l'écriture d'un livre consacré à Hector Mann, virtuose du cinéma muet porté disparu depuis 1929. Un soir, une jeune femme arrive chez lui et annonce que Hector Mann lui-même le réclame de toute urgence, qu'il est sur son lit de mort. David se laisse entraîner dans un très long voyage.
En racontant l'histoire de l'extraordinaire et mystérieux Hector Mann, Paul Auster nous emmène bien au-delà de la magie du cinéma muet, jusqu'au coeur de l'univers envoûtant où la création artistique semble faire écho aux sentiments amoureux dans ce qu'ils ont de plus éphémère et de plus fragile, où la douleur de la perte et le besoin de filiation se répondent pour remettre en question l'idée même de mémoire.
Sinuously constructed in four interlocking parts, Invisible opens in New York City in the spring of 1967 when twenty-year-old Adam Walker, an aspiring poet and student at Columbia University meets the enigmatic Frenchman Rudolf Born, and his silent and seductive girlfriend Margot. Before long, Walker finds himself caught in a perverse triangle that leads to a sudden, shocking act of violence that will alter the course of his life. Three different narrators tell the story, as it travels in time from 1967 to 2007 and moves from New York to Paris and to a remote Caribbean island in a story of unbridled sexual hunger and a relentless quest for justice. With uncompromising insight, Auster takes us to the shadowy borderland between truth and memory, authorship and identity to produce a work of unforgettable power that confirms his reputation as one of America's most spectacularly inventive writers.
Nashe, ex-pompier de boston qui a hérité de deux cent mille dollars, rencontre pozzi, joueur de poker professionnel, alors qu'il sillonne l'amérique sans but particulier.
Fort du soutien de son compagnon de hasard, il décide d'investir le restant de sa fortune dans une partie supposée sans risque contre deux millionnaires excentriques, flower et stone. c'est alors que l'extravagant commence...
Ecrivant l'errance dans l'espace américain ou le huis clos de tous les dangers, paul auster interroge ici avec une étonnante maîtrise romanesque les thèmes qui lui sont chers - l'incertitude de l'identité, l'absurdité du hasard et la perte du sens commun.
Paul Auster Je pensais que mon père était Dieu « Des dépêches, des rapports envoyés du front de l'expérience personnelle » : ainsi Paul Auster définit-il les histoires contenues dans ce livre. Cent quatre-vingts histoires vraies, choisies parmi les envois d'auditeurs de tous les âges et de toutes les conditions, qu'il a pendant un an présentées sur les ondes.
C'est toute la société américaine, avec ses personnages types, ses thèmes récurrents, ses réactions et ses croyances, ses malédictions et ses bonheurs, qui se reflète dans ce kaléidoscope. C'est aussi une réalité surprenante, non conforme à nos attentes ordinaires, et qu'on dirait traversée par des forces inconnues : hasard, prémonition, mystères.
« Je me retrouve sans définition adéquate de la réalité », dit un des participants en conclusion de son histoire.
D'où, assurément, la fascination du romancier de Léviathan et du Livre des illusions pour ces fragments vécus, qui semblent prolonger son oeuvre.
Paul Auster's Sunset Park is set in the sprawling flatlands of Florida, where twenty-eight-year-old Miles is photographing the last lingering traces of families who have abandoned their houses due to debt or foreclosure. Miles is haunted by guilt for having inadvertently caused the death of his step-brother, a situation that caused him to flee his father and step-mother in New York seven years ago. What keeps him in Florida is his relationship with a teenage high-school girl, Pilar, but when her family threatens to expose their relationship, Miles decides to protect Pilar by going back to Brooklyn, where he settles in a squat to prepare himself to face the inevitable confrontation with his father - a confrontation he has been avoiding for years. Set against the backdrop of the devastating global recession, and pulsing with the energy of Auster's previous novel Invisible , Sunset Park is as mythic as it is contemporary, as in love with baseball as it is with literature. It is above all, a story about love and forgiveness - not only among men and women, but also between fathers and sons.
Paul Auster Le Diable par la queue Avant de connaître la consécration, Paul Auster a connu des années de « galère », comme tout écrivain qui se refuse à exercer un autre métier. De ses mésaventures, de ses tentatives, de ses véritables paniques devant les soucis matériels, il fait ici la chronique allègre. Elle commence aux querelles budgétaires qui minent le couple de ses parents, et s'achève à la parution de son premier livre.
Les admirateurs de l'écrivain apprendront comment il a traduit en direct un discours de Jean Genet, inventé un jeu de cartes qui aurait assuré sa fortune sans l'arrivée de l'informatique, écrit un polar noir dans l'espérance d'un gros tirage...
Mais au-delà de l'anecdote, cette réflexion sincère sur l'argent et la création éclaire d'un jour nouveau, de même que les souvenirs réunis sous le titre Pourquoi écrire ?, bien des pages d'une oeuvre romanesque déjà classique.
Paul Auster donne une des autobiographies les plus originales, les plus audacieuses jamais écrites par un écrivain. Qui a osé raconter sa vie sous l'angle de l'argent oe Michel Contat, Le Monde.
Paul Auster Tombouctou Willy erre dans Baltimore à la recherche de son ancienne institutrice car, avant de mourir, il aimerait lui confier son chien - le fidèle Mr Bones - et aussi l'oeuvre de sa vie : soixante-quatorze cahiers, et notamment les huit cents premiers vers d'une épopée inachevée, Jours vagabonds. Mais Willy meurt sans avoir pu assurer l'avenir de ses écrits, et Mr Bones se retrouve seul, livré à lui-même, privé de ce maître qui fut pour lui le pivot et la raison d'être de l'univers. Pour Mr Bones, c'est une évidence, Willy est désormais à Tombouctou, l'au-delà des bienheureux. Les harangues de Willy et les souvenirs que Mr Bones garde des méditations de son maître constituent la plus grande part d'une fable romanesque écrite avec un art de la narration qui, depuis son premier livre, a fait la réputation de Paul Auster.
Dans un roman philosophique exécuté en virtuose, l'auteur regarde avec les yeux et la bonté d'un chien le poète vagabond qu'il aurait pu devenir.
Michel Contat, Le Monde.
Paul Auster a écrit ici un de ses meilleurs romans, un des plus épurés, des plus risqués, des plus beckettiens aussi.
Gérard de Cortanze, Le Magazine littéraire.
On March 3, 1947 Archibald Isaac Ferguson is born. From that single beginning, his life will take four simultaneous and independent fictional paths. Four boys who are the same boy, will go on to lead four parallel and entirely different lives. Fergusons story rushes on across twentieth-century America. A sweeping story of birthright and possibility, of love and the fullness of life itself.
American writer Stephen Crane died in 1900 at the age of 28. In his short, intense life, this burning boy wrote a masterpiece, The Red Badge of Courage , as well as other novels, short stories, and dispatches from the front of two wars. His adventurous life took him to the Wild West, Mexico, then to Cuba during the Spanish American War - dodging bullets which killed those around him, and suffering shipwreck on his way home. Fleeing America because of a scandalous love affair, his last 18 months were spent in Britain where he became a close friends of H.G. Wells, Henry James and, especially, Joseph Conrad. Auster ''s intention is to restore Crane to the pantheon of Modernist 20th century authors such as Conrad. Through Auster''s skill as a novelist, Crane leaps off the page, and into the reader''s heart.
''Exhilarating.'' Joyce Carol Oates, Times Literary Supplement Books of the Year ''Sharp-eyed and revealing.'' The New Yorker ''Brilliant . . . Remarkable.'' New York Journal of Books Best known as the author of The Red Badge of Courage , Stephen Crane produced an avalanche of sublime literature before he succumbed to tuberculosis at the age of twenty-eight. Yet his short life was an eventful one: from crushing poverty as a newcomer to Manhattan and his near-drowning in a shipwreck, to his stint as a war correspondent in Cuba and international fame at twenty-five, to his final years in England and friendships with Joseph Conrad and Henry James. In Burning Boy , celebrated novelist Paul Auster delves deeply into the story of Crane''s tumultuous and dramatic life.
C'est en 1990 que le cinéaste Wayne Wang demande à Paul Auster le droit d'adapter à l'écran un conte de Noël, publié dans le New York Times par l'auteur de Léviathan. C'est le début d'une aventure qui va durer quatre ans. Smoke, le film déjà classique qui en est résulté, se prolongera dans l'imprévu et délicieux Brooklyn Boogie.
Première expérience du romancier comme scénariste _ il s'en explique ici dans un long entretien _, Smoke est de son propre aveu « un hymne à la grande république populaire de Brooklyn ». Autour d'un bureau de tabac, Auster fait circuler des personnages issus de la vie quotidienne, incarnant la diversité et l'ambiance d'une ville où, malgré les tensions et les drames, c'est quand même le goût de vivre ensemble qui l'emporte.
Prix Médicis étranger 1993, le Léviathan de Paul Auster met en scène un écrivain, Ben Sachs, détourné du cours de son existence par la hantise du mal qui menace le monde en général et l'Amérique en particulier. Or il ne peut mener à terme le roman qu'il a entrepris - Leviathan - car l'action terroriste dans laquelle il s'est engagé se retourne contre lui. Peter Aaron, son ami, décide, pour prévenir les mensonges des enquêteurs, de reconstituer et d'écrire l'histoire de Sachs : s'ouvrent alors les pistes les plus étranges, apparaissent les personnages les plus curieux, qui tous, par le talent si singulier de Paul Auster, deviennent autant de figures du destin.
' One day there is life . . . And then, suddenly, it happens there is death. ' So begins Paul Auster's moving and personal meditation on fatherhood, The Invention of Solitude . The first section, 'Portrait of an Invisible Man', reveals Auster's memories and feelings after the death of his father. In 'The Book of Memory' the perspective shifts to Auster's role as a father. The narrator, 'A.', contemplates his separation from his son, his dying grandfather and the solitary nature of writing and story-telling. With all the keen literary intelligence familiar from The New York Trilogy or Sunset Park , Paul Auster crafts an intensely intimate work from a ground-breaking combination of introspection, meditation and biography.
Paul Auster Cité de verre Un auteur de série noire, Quinn, est réveillé au milieu de la nuit par un coup de téléphone qui ne lui était pas destiné : on demande un détective, un certain Paul Auster... Quinn, qui mène une vie errante, lestée d'un passé problématique, accepte le jeu consistant à être ce Paul Auster.
Et le voilà lancé dans une aventure plus extravagante que toutes celles qu'il aurait pu imaginer. à la faveur de cette première faille de l'identité, le roman policier bifurque, et ce sont à la fois Kafka et Hitchcock que l'écrivain de L' Invention de la solitude convoque dans les détours de sa cité de verre...
Une remarquable « machine » littéraire.
Claude-Michel Cluny, Le Figaro.
Paul Auster Revenants Ce deuxième volet de la « Trilogie new-yorkaise » met en scène, dans le décor qui était celui de Cité de verre, trois protagonistes nommés Noir, Blanc et Bleu. Deux d'entre eux sont des détectives privés.
Mais, tout en nous entraînant dans un suspense qui ne le cède en rien à celui des meilleurs thrillers, le romancier nous donne aussi à sentir la précarité de l'identité, et fait jouer devant nous, dans un crescendo tragique, les plus pervers effets de miroir du destin.
Roman policier, roman métaphysique : Paul Auster joue des deux registres avec une maestria qui justifie sa place - au tout premier rang - dans la jeune littérature américaine.