Février 1930. Dans un atelier d'artiste de Montparnasse, une jeune femme est retrouvée morte. Surdose de morphine. Elle s'appelait Marie Baron.
Quelques jours plus tard, le cargo mixte Polarlys quitte le port de Hambourg pour l'extrême nord de la Norvège. Voyage de routine, destiné à approvisionner les ports qui jalonnent la côte.
Quel rapport entre ces deux événements, distants de plusieurs milliers de kilomètres ? A priori, aucun.
Mais pour le capitaine Petersen, cette traversée ne sera pas comme les autres. Car il a de bonnes raisons de penser que le responsable de la mort de Marie se cache à bord de son navire.
Et quand un conseiller de police est assassiné dans sa cabine, l'ambiance se tend encore plus. Parmi les passagers du Polarlys, sur une mer battue par les vents et dans une atmosphère poisseuse où les faux-semblants règnent en maître, les coupables potentiels ne manquent pas...
Christian Cailleaux et José-Louis Bocquet s'emparent de l'un des premiers « romans durs » de Georges Simenon, cette facette littéraire où, sous le signe du roman noir, le créateur de Maigret met en scène sa propre comédie humaine.
Grâce à Honoré Fia, son illustrateur de beau-frère, Adèle échappe au poison du Docteur Chou, qui transforme son prochain en bovin écervelé. Mais elle n'est pas tirée d'affaire pour autant, puisqu'un autre danger la guette : des clones explosifs qui lui ressemblent comme deux gouttes d'eau et se font sauter aux côtés de pontes du gouvernement pour lui faire porter le chapeau !
Attention chef-d'oeuvre ! L'histoire d'un privé qui veut venger son ex-fiancée assassinée, rappelle celle des grands maîtres du polar le plus noir. Cette tragédie classique est transfigurée par un dessin sublime, d'une maestria époustouflante !
Chargé de protéger le président d'un syndicat infiltré par la mafia à New York, John Blacksad va mener une enquête qui s'avèrera particulièrement délicate... et riche en surprises. Dans cette histoire pour la première fois conçue en deux albums, nous découvrons à la fois le quotidien des travailleurs chargés de la construction du métro dans les entrailles de la ville, mais également la pègre et le milieu du théâtre, contraste absolu entre l'ombre et la lumière, le monde d'en bas et celui d'en haut incarné par l'ambitieux Solomon, maître bâtisseur de New York. Le grand retour de la série star de la bande dessinée !
Oldsmill, le maître de la ville, est un tigre blanc.
Karup, le chef de la police, un ours blanc.
Huk, l'âme damnée de Karup, un renard blanc.
Avec les autres animaux à pelage immaculé, ils forment la société WASP (W pour White, AS pour Anglo-Saxon, P pour Protestant). Tous les autres habitants, de la pie noire au renard brun-roux en passant par le chat tacheté et la biche châtain, ne sont que racaille. Et si la police n'est pas capable de maintenir l'ordre des blancs, les gros bras d'Arctic-Nation, le parti raciste, cagoulés et vêtus de robes blanches, s'en chargent sans états d'âme. Ils ont les cordes et les croix enflammées qu'il faut.
Dans cette ambiance pas câline, câline, Blacksad, le chat détective privé, enquête sur la disparition d'une enfant de couleur. La mère de Kyle, Dinah, travaillait comme femme de ménage chez le même Karup et, selon quelques bonnes âmes, serait au mieux avec le fils Oldsmill.
Un vrai noeud de vipères dans lequel Blacksad plonge les pattes et joue au justicier prompt à griffer si nécessaire... Son seul appui, le reporter d'un magazine à scandale Weekly. Un fouille-merde qui sera utile à John. Vaut mieux. Coups bas et coups tordus vont pleuvoir comme à Gravelotte.
Après Quelque part entre les ombres, son coup d'essai - et de maître -, le dessinateur Guarnido va encore plus loin dans le réalisme animalier. Les gueules, les pelages, les ramages de ses personnages leur donnent une réalité extraordinaire, et - c'est à tomber par terre -, toujours humaine. Lorsqu'ils sortent leurs crocs ou leurs griffes, ses fauves relèguent les coups de gueule d'un James Cagney au rang de caprices de garçonnet. Le plus doux des chatons est un fauve en devenir. Alors, Blacksad en colère !
Le scénario de Canales est envoûtant comme un roman de Dashiell Hammett, glauque comme un Raymond Chandler, gouailleur comme un Chester Himes.
Arctic-Nation est un vrai roman noir. Très, très noir.
Finances et moral au plus bas, Blacksad est à Las Vegas où il travaille pour le compte d'un joueur fortuné. Pourtant une rencontre inattendue va bousculer sa nouvelle vie : un ami, Otto Lieber, scientifique de haut rang, est de passage dans la ville où a lieu une conférence sur le nucléaire. Les deux hommes réussissent à se voir et les souvenirs remontent à la surface... Otto semble avoir une vie passionnante malgré l'excentricité de son "bienfaiteur", Gotfield. Celui-ci est marié à la troublante Alma et, après ces rencontres, la vie de Blacksad va prendre une nouvelle tournure...
Prison de Boniato, au nord de Santiago de Cuba.
Dans une cellule, un homme cherche à sauver sa peau. Il implore le directeur d'envoyer un mail à un certain Boris Denisov, un Russe qui pourrait le sortir de cet enfer.
De son côté, à Washington, Jason Mac Lane est devenu conseiller spécial à la sécurité. Depuis que la Fondation Mayflower, un mouvement d'extrême-droite qui a placé le président Allerton au pouvoir, a reprogrammé sa mémoire, il a tout oublié de son passé.
Désormais dévoué à Mayflower, il ignore que ses lunettes, munies d'une caméra, révèlent tous ses faits et gestes à Janet, son épouse, membre éminent de l'organisation.
Jason s'apprête justement à s'envoler pour Cuba afin de récupérer le prisonnier. Car le mail a été intercepté : le dénommé Tadine, un hacker de premier ordre, pourrait contribuer à la réélection d'Allerton.
Le problème, c'est que Boris Denisov s'intéresse lui aussi à Tades. Et que le président Allerton, qui se méfie des ambitions de Janet, ne verrait pas d'un mauvais oeil la disparition de Jason.
Premier volet d'un diptyque dans lequel Jason Mac Lane, alias XIII, semble être définitivement passé du mauvais côté de la Force... malgré lui.
Qui parviendra à flinguer...la rockstar du S. A. V. ?
Falcon City est en émoi. Le lancement du Vacuumizer 2000 s'est transformé en une scène de crime macabre. L'inspecteur Eddy Vox est persuadé que le coupable n'est autre que Jacques Ramirez, un salarié de la Robotop fraîchement nommé « employé de l'année ». Quant aux hommes du cartel de Paso del Rio, ils n'ont pas dit leur dernier mot... C'est avec l'aide inattendue de deux célébrités en cavale que Ramirez parvient à leur fausser compagnie ! Alors qu'il avait planifié un week-end mémorable à Stone Creek, il se retrouve embarqué bien malgré lui dans une chasse à l'homme aussi explosive que pittoresque. L'occasion idéale pour régler certains conflits familiaux et profiter des richesses qu'offrent l'État d'Arizona.Dans ce décor majestueux, nombreux sont les candidats qui courent après Ramirez.
Et si derrière la légende du pire assassin mexicain...
Se cachait le meilleur expert en aspirateurs de tous les temps ?
Falcon City, Arizona. Jacques Ramirez travaille à la Robotop, une entreprise d'électroménager et l'un des fleurons industriels du coin. Employé modèle, il bosse vite, bien, et sait surtout se faire discret. Pour cause : il est muet. Sa vie bascule le jour où deux membres d'un dangereux cartel pensent reconnaître en lui l'homme qui a trahi leur organisation par le passé : Ramirez, le pire assassin que le Mexique ait jamais connu. Aussi étonnant que cela puisse paraître, sous le chapeau du nettoyeur légendaire se cacherait désormais... un expert en aspirateurs hors-pair. Et maintenant que les hommes du cartel l'ont démasqué, ils feront tout, absolument tout... pour flinguer ce fumier !
Pour marquer son entrée au catalogue Glénat, Nicolas Petrimaux livre un hommage réjouissant aux thriller d'action des années 1980. Un récit brutal et sans temps mort servi par une ligne à la puissance cinématographique, convoquant autant le Friedkin de Live And Die in LA que Tarantino ou Rodriguez.
Années 1950, La Nouvelle-Orléans, où la fête de Mardi gras bat son plein. Grâce à Weekly, un producteur de jazz dénommé Faust fait la connaissance de Blacksad. Faust demande à ce dernier de s'occuper d'une affaire : un de ses musiciens, le pianiste Sebastian, a disparu. Il n'a pas donné signe de vie depuis des mois, mettant en péril le label musical privé d'une star. Faust craint que Sebastian ait, une fois de trop, sombré dans la drogue. Sa requête est d'autant plus pressante que Faust se sait atteint d'un cancer. Blacksad accepte la mission et découvre peu à peu que Faust ne lui a pas tout dit. Il s'aperçoit qu'il est lui-même manipulé, mais décide tout de même de retrouver Sebastian pour comprendre les raisons de sa disparition. Il ne sait pas encore qu'il va connaître son enquête la plus éprouvante, à plus d'un égard.
Avec Amarillo, tome 5 de Blacksad, Juan Díaz Canales et Juanjo Guarnido entraînent leurs héros - Blacksad, le chat détective privé - dans un road-movie qui n'est pas sans évoquer la « beat generation »...
Ce cinquième épisode de Blacksad, Amarillo, s'ouvre à La Nouvelle-Orléans : Weekly doit quitter la ville ; il y laisse John qui préfère rester sur place pour chercher du travail. Par chance, celui-ci croise justement un riche Texan qui lui propose de ramener sa voiture chez lui : un boulot simple et bien payé ! Le détective accepte, mais, dans une station-service, il se fait voler la voiture par Chad Lowell et Abe Greenberg - deux écrivains beatniks qui cherchent à rejoindre Amarillo, au Texas. Bientôt, une querelle entre les deux hommes, rivaux, vire au drame : Chad, poussé à bout, tire sur Abe qui meurt sur le coup. Obligé de fuir, Chad trouve refuge dans un cirque. John se lance à sa poursuite sur les routes américaines du Nouveau-Mexique, du Colorado, du Texas et de l'Illinois.
Amarillo est le 5e album de Blacksad, une série qui met en scène un chat détective, dans une ambiance qui évoque furieusement le roman noir de la littérature américaine.
Ancien boxeur, le Grizzli doit son surnom autant à sa carrure qu'à sa pilosité ! Avec ses copains Toine et Jo, c'est à la vie et à la mort, leur passé tumultueux n'y est pas pour rien. Désormais rangés, ils semblent mener leur petite vie, peinards. Alors, quand un affreux surnommé Bébert-la-Gambille, fraichement sorti de prison, veut régler ses comptes avec Jo pour une sombre histoire d'argent, les trois amis s'entraident.
France. Abel est un garçon solitaire qui peine à se faire des amis au collège, mais ses analyses sur les dernières sorties de jeux vidéo sont très prisées en ligne. Dans sa famille ultra connectée, personne ne s'écoute vraiment, même quand leur père tente de les alerter sur une étrange épidémie en train de se répandre dans le monde entier.
Turquie. Élif est une jeune fille têtue et particulièrement compétitive, qui terrasse ses grands frères aux jeux de combats et prend plaisir à les narguer au lieu de sagement faire ses devoirs comme le souhaiterait sa mère.
Canada. Yorick a beau avoir un esprit très cartésien et exceller en énigmes, en stratégie et en mathématiques, il ne se rend pas toujours compte que son beau sourire fait chavirer ses camarades de classe.
Chacun sur leur continent, les trois adolescents vivent des vies quasiment opposées. Mais ce quotidien s'apprête à être tout à fait chamboulé... Un mystérieux colis vient d'être livré à chacun d'entre eux : la marque Tenma leur propose de tester « Totem », un nouveau jeu en réalité virtuelle. En enfilant leurs casques et en prenant possession de leur apparemment inoffensifs avatars animaliers, Abel, Elif et Yorick déclencheront le début d'une aventure qui les dépassera, faisant dialoguer virtuel et réalité jusqu'aux dangers les plus périlleux.
1979. North Hollywood. Deux policiers découvrent une junkie décédée dans son appartement. Une affaire sordide de plus ? Non. Car la victime est une certaine Judee Sill, étoile filante de la Folk qui connut une brève heure de gloire seventies avant de mystérieusement disparaître dans la nuit de l'anonymat... Enfant révoltée, délinquante récidiviste, droguée et prostituée notoire : Judee fut tout cela et pire parfois. Mais elle fut surtout une musicienne touchée par la grâce, dont le timbre et la personnalité marquèrent de leur doux fer ceux qui l'entendirent et la côtoyèrent.
C'est ce destin dramatique, romanesque et musical que vous invitent à remonter Juan Díaz Canales (Blacksad, Corto Maltese) et Jesus Alonso Iglesias, au gré d'un scénario rythmé comme une partition, servi par un dessin restituant comme jamais les années 70 et s'autorisant parfois de sidérantes envolées psychédéliques.
Brunehilde est meneuse de loups. Elle vit à la fin du Moyen Âge, cette période incertaine où le christianisme combat intensément pour gagner les populations, essentiellement rurales. Nomade, considérée comme une sorcière, elle doit se méfier des brigands, des bêtes, des esclavagistes, de l'accueil des villageois, parfois. Quand elle arrive dans cette vallée forestière du Sud-Ouest de la France, elle découvre une situation terrible : des gens sont atrocement tués dans les bois, mutilés, et le village est persuadé qu'un démon ou un loup-garou sévit. Première suspecte, Brunehilde, aidée de Paulin, un vague commerçant itinérant croisé en route, est vite obligée de mener l'enquête sur ces meurtres.
Le Marécage. Un territoire maudit, aux contours indéfinis, peuplé d'étranges créatures. Un territoire dangereusement inhospitalier, où l'on n'envoie que les pires criminels. Mais un territoire où Ariston Bergère, capitaine de la Garde du Palais royal de Palantia, va dissimuler Ysaut, bébé héritier du trône au centre de trop de complots. Une mission courageuse et louable. Mais qui va très vite mal tourner. Car la princesse mourra... À moins qu'il ne se trouve un moyen de garder vivant son nom... De quoi pousser ses nombreux ennemis à sortir de l'ombre pour une terrible traque, dans laquelle sera prise une mystérieuse aventurière masquée : Sombra...
Quand un maître du design et du dessin animé compose un univers de fantasy animalière convoquant la puissance du Loisel de La Quête de l'oiseau du temps, il est recommandé de bien s'accrocher à son fauteuil avant toute lecture... Attention : choc graphique !
Les best-sellers Sarbacane... à petit prix !
Pierre, jeune étudiant parisien en architecture, entreprend un voyage en Suisse afin de visiter les thermes de Vals. Ce magnifique bâtiment, conçu par le célèbre architecte suisse Peter Zumthor, au coeur de la montagne, le fascine et l'obsède. Cette mystérieuse attraction va se révéler de plus en plus forte à mesure que Pierre se rapproche du bâtiment...
Quand Liane disparaît de l'hôtel, son mari, Martial, devient le coupable idéal. Désemparé, ne sachant comment prouver son innocence, il prend la fuite avec leur fille de 6 ans. Pour la police, cela sonne comme un aveu : la course-poursuite, au coeur de la nature luxuriante de l'île, est lancée. Une officier de police opiniâtre pourra-t-elle appréhender le suspect ?
Après le succès de l'adaptation en bande dessinée de son roman Les Nymphéas noirs, Michel Bussi revient en compagnie de Fred Duval et Didier Cassegrain pour Ne lâche pas ma main, un thriller haletant au coeur de l'île de La Réunion.
Pour Slick, les choses ne s'arrangent pas. Jusqu'à présent, il avait affaire aux truands irlandais. Mais cette fois, il change de dimension : le voilà confronté à la mafia italienne.
Rex, pour qui il n'avait travaillé qu'une seule fois, lui demande cette fois, sous la menace, de voler une oeuvre d'art. Et pas n'importe laquelle : outre sa très grande valeur, elle appartient à la mafia.
Dans un monde idéal, Slick prendrait le large avec Caprice, la femme de sa vie. Mais nous ne sommes pas dans un monde idéal. Caprice se retrouve coincée elle aussi : Rex la retient avec un secret qui pourrait ruiner sa carrière à tout jamais.
Et les ennuis de Slick ne s'arrêtent pas là : il doit faire équipe avec une bande de véritables détraqués. Notamment Crazy Horse, l'un des tueurs incontrôlable de Rex qui semble être parti sur le sentier de la guerre. Ce qui est certain, c'est que du sang et de larmes vont couler...
Entre femmes fatales, fusillades sanglantes et règlements de comptes, Enrico Marini poursuit son hommage au film noir américain des années 1950.
Dans ce premier épisode des Aventures Extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec, nous faisons connaissance avec la célèbre héroïne de Tardi.Dotée d'une personnalité hors du commun, Adèle nous entraîne dans un univers mystérieux (dans lequel Paris occupe une place de choix), peuplé de monstres et d'êtres étranges, qui a fait le succès de cette série.
Philadelphie, années 1950.
Une chambre d'hôtel, la nuit.
Assis dans un fauteuil, un homme attend, un revolver à la main. Il s'appelle Slick et guète l'arrivée de Caprice, la femme qui l'a trahi. En ouvrant la porte, Caprice comprend aussitôt : il est venu pour se venger.
Quelques mois plus tôt, Slick a loupé un casse. Il doit de l'argent à son commanditaire, Rex, un boss de la mafia irlandaise. Ce dernier compte bien épouser Caprice, danseuse dans sa boite de nuit, après avoir éliminé Slick du paysage.
Mais il s'est passé quelque chose entre Caprice et Slick. Il y a longtemps déjà, bien avant toute cette histoire. Ils étaient tombés amoureux. Et maintenant, ils jouent avec le feu...
Inspiré par les films noirs américains des années 1950, Enrico Marini signe avec Noir burlesque un polar sombre à souhait, peuplé de femmes fatales et baigné de sensualité, où le crime et la violence se nourrissent de la jalousie et des trahisons.
A Short Story retrace avec un souci du détail sans précédent la vraie histoire d'Elizabeth Short, plus connue sous le pseudonyme du Dahlia Noir, qui avait quitté son Massachusetts natal pour s'installer à Los Angeles, envisageant une carrière de star hollywoodienne.
L'histoire et les dialogues, écrits d'après les documents déclassifiés du FBI, retrace la vie de cette jeune femme perdue dans Hollywood, en particulier les 3 mois qui ont précédé son horrible assassinat, et repose sur les témoignages recoupés de gens l'ayant connue et côtoyée.
De son séjour au Figueroa Hotel avec Marjorie Grahams, à l'incident des trois de San Diego, un récit méticuleusement documenté, loin des clichés habituels sur une figure féminine dont on pensait tout connaître.