Marginalia à 'La Naissance de la tragédie' de Friedrich Nietzsche

Traduit de l'ALLEMAND (AUTRICHE) par HUGO HENGL

À propos

Inédit en français.
Suite, reprise ou pendant à "Notes sur la mélodie des choses" (1898), les "Marginalia à "La Naissance de la tragédie" de Friedrich Nietzsche", jusqu'alors inédits en franccais et retrouvés dans la succession de Lou Andreas-Salomé, datent de 1900. Ainsi, Rilke poursuit-il sa réflexion entamée deux ans auparavant, et en appelle à « l'homme intemporel », à l'écoute profonde de « l'ample mélodie de l'arrie're-fond » qui le conduit depuis les grecs jusqu'au matin du xxe sie'cle à une pensée sur l'art convoquant la peinture, plus encore fortement le théa^tre et la poésie, la sienne tout particulie'rement, ainsi que, bien entendu, la musique elle-me^me avec laquelle, on le sait, il entretint un rapport ambigu cependant qu'il y voyait « la premie're expression parfaite » de ce qu'il situe à l'origine : « le ressac de l'illimité. »
Les "Marginalia" sont aussi l'oeuvre critique d'une lecture essentielle du texte de Nietzsche duquel parfois il s'éloigne, confirmant son intére^t d'alors pour le philosophe tout en préférant compter sur ses seules ressources intérieures.


Rayons : Littérature > Littérature argumentative > Essai littéraire


  • Auteur(s)

    Rainer Maria Rilke

  • Traducteur

    HUGO HENGL

  • Éditeur

    La Barque

  • Distributeur

    Belles Lettres

  • Date de parution

    05/11/2024

  • EAN

    9782917504741

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    48 Pages

  • Longueur

    18 cm

  • Largeur

    11.6 cm

  • Épaisseur

    0.6 cm

  • Poids

    64 g

  • Diffuseur

    Belles Lettres - Textes

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Rainer Maria Rilke

Rainer Maria Rilke (1875-1926), écrivain et poète autrichien, est l'auteur d'une œuvre poétique sensible, tourmentée et pétrie de spiritualité. Adulé de son vivant, il reste l'un des plus grands poètes du XXe siècle. Ses dix Lettres à un jeune poète sont publiées à titre posthume, en 1929, trois après sa mort. C'est son premier texte enregistré dans La Bibliothèque des voix ; a suivi récemment la mise en voix par Micha Lescot et Noémie Lvovsky de sa correspondance avec Marina Tsvétaïeva, qui célébrait en lui « la poésie incarnée » ("Est-ce que tu m'aimes encore ?", 2019).

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